Un jeune garçon utilise les derniers 13 $ de sa mère pour lancer une entreprise, et des années plus tard, ce petit investissement se transforme en une fortune, passant d’une vieille remorque à une maison d’une valeur de 2 millions de dollars. – Histoire du jour

Annie Byrne, une mère veuve d’Atlanta, croyait fermement que motiver ses enfants à travailler avec persévérance les aiderait à devenir des adultes responsables. C’est une leçon qu’elle inculquait à son fils, Simon, jour après jour.

“Peu importe que nous vivions dans une vieille remorque rouillée, mon fils. Un jour, il me conduira dans un palais et me couronnera reine !” rêvait-elle, alors qu’elle luttait pour joindre les deux bouts en travaillant comme femme de ménage.

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Le destin exauça ses rêves de façon inattendue lorsque Simon, des années plus tard, lui remit les clés de leur maison d’une valeur de 2 millions de dollars. Mais ce que sa mère ne savait pas, c’était le prix que Simon avait payé pour réaliser ce rêve…

Un jour, alors qu’ils vivaient encore dans la modeste remorque, Simon, âgé de 13 ans, se tourna vers sa mère, un air préoccupé sur le visage. “Maman, quand allons-nous emménager dans une belle maison ? Il commence à faire froid ici, et c’est vraiment étouffant à l’intérieur.”

“Donne-moi juste cet argent, et tu ne le regretteras pas… je ne te demande même pas un centime de plus, juste ce que tu as”, supplia le garçon.

Annie, touchée, ne répondit pas tout de suite. Elle savait que ce rêve semblait lointain. Elle n’avait pas beaucoup d’économies, et son salaire ne suffisait même pas à couvrir les besoins de base, encore moins à offrir une maison à son fils. Il était en vacances, et la situation était difficile.

“Très bientôt, mon fils… très bientôt, nous déménagerons d’ici”, dit-elle en essuyant une larme. “Maintenant, ferme les yeux et essaie de dormir.”

Mais Annie ne trouva pas le sommeil. Elle savait que ce “très bientôt” n’arriverait jamais. Cette pensée la hantait toute la nuit, alors qu’elle veillait près de son fils, le cœur lourd et résignée à l’idée que la misère les suivrait à jamais.

Le lendemain matin, après une nuit d’angoisse, Annie attendit son fils dans la cuisine. Mia était déjà partie à l’école.

“Qu’est-ce que c’est ?”, demanda-t-elle, la voix un peu pressée, lorsqu’il lui tendit un dessin qu’il avait préparé.

Ses yeux se sont écarquillés, et son visage est devenu pâle.

“Tu lui as demandé de le cacher ?” ai-je demandé, incrédule. “Tu lui as vraiment dit ça ?”

“Attends, attends,” balbutia-t-il, levant les mains en signe de défense. “Ce n’est pas ce que tu crois, Amber. Laisse-moi t’expliquer.”

“Tu as cinq secondes, Jack. J’ai passé la nuit à imaginer le pire.”

Mon mari se passa une main dans les cheveux, visiblement perturbé.

“Viens avec moi,” dit-il, d’un ton pressant.

“Où ça ? Et le travail ?” lui répondis-je, sur un ton hésitant.

“À l’école de Mia. Il faut que je te montre quelque chose,” répondit-il.

Malgré ma colère, quelque chose dans sa voix me fit finalement le suivre.

Arrivés à l’école, nous avons rencontré Clara, l’enseignante de Mia. Elle nous expliqua que Mia se sentait délaissée à cause de mon emploi du temps chargé. Clara avait juste été une oreille attentive pour notre fille.

Les larmes montèrent dans mes yeux. Ce dessin n’était pas une trahison, mais un appel à l’aide de Mia.

Depuis ce jour, ma vie a pris un tournant. J’ai réduit mes heures de travail et mis en place des soirées spéciales “Maman et Mia”. J’ai aussi remercié Clara pour son soutien.

La vie n’est pas parfaite, mais chaque moment passé avec ma fille est désormais un trésor. Maintenant, chaque fois qu’elle prend ses crayons, je veille à être là, assise à ses côtés.

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